
"Passer de la fête des pères/mères à la fête de "ceux qu'on aime", c'est préférer flatter un débiteur qu'honorer un créancier".
Henri de Beauregard, avocat.
"Passer de la fête des pères/mères à la fête de "ceux qu'on aime", c'est préférer flatter un débiteur qu'honorer un créancier".
Henri de Beauregard, avocat.